Sur cette terre… Mon intimité vient de naître…
L’aventure commence alors que je me rends compte de l’étendue de l’exploration…
On me donne un nom…
Un nom ou pré — non qui résonne au son de mes pas…
Si je raisonne et j’ai bien une Raison…
Sinon… Je construis., au nombre de lettres et de questions…
Puis-je avoir assez de pierres pour construire cet édifice…
Que je désire…
Et si je peux l’instruire cela serait magique. Avec amour bien sûr sinon rien. Et avec le destin, puisse-t-il me porter aussi loin que mes espérances et mes compétences…
Mais que justice soit faite, si je ne m’abuse…
Pour garder en face une ligne si pure…
À mon grand étonnement, je me replie sur moi-même, quand parfois il ne suffit que d’écouter ma voix, sa voie…
Mais la roue tourne mon gars, et le futur n’est pas sûr…
Alors garde la foi et surtout garde en toi la mesure de ta force et de tes pas, et quand tu entendras au loin…
Ou non… Ou pas… Ou presque une main tendue… Tu la verras peut-être…
Au fond et t’es perdu…
Reste fort car tu accompliras la plus profonde des transformations ou tu n’auras certainement plus ton nom.
Ton pré-non… Ta raison.
L’eau coule toujours sous nos pas. La vie claire ou la vie trouble… Il n’y a qu’un verset pour nous calmer…
Mais gars au loup, quand il arrive, c’est plus que le diable en eaux troubles, il n’agit pas et sans permis, il dirige tes actes et t’enchérit…
Peur de la tour qui s’agrandit et qui croit…
Pour sûr elle tombera…
Mais ta bonne étoile est là…
En y prêtant attention, tu lui donnes un nom !! Un vrai. Un vrai NOM ! Un NOM qui donne envie…
Mais un non qui dit oui, c’est complètement lunaire ! Alors éclair moi ces parts d’ombres encore…
Car je me ronge… Je me dévore avant que tu ne le fasses…
Mais comme après chaque pleur, chaque averse, la pluie me naît toi. Le soleil, avec ses rayons me transperce…
Pour percevoir l’être…
Pur et merveilleux dont je rêve tant…
Ne point me juger, car j’agis par l’être et seulement par lettre. Ceci est composé spécialement pour toi…
À ta mémoire…
De con- verti. À la lumière des êtres.
Maëlle Cathalifaud
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